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Monday, May 29, 2006

Circus horribilis *

Mardi soir dernier. C'était soir de cirque à Verdun. Celui de Garden Bros. Sortie parfaite pour fêter les 3 ans de mon garçon. J'avais hérité au travail de 2 laissez-passer. Un gratuit pour adulte (à l'achat d'un billet à prix régulier) et un billet pour enfant. Prévoyant kom je suis, j'avais kommandé mon billet à l'avance sur Admission. Je me rendais donc sur place bien préparé pour une soirée de détente en famille.

* Suggestion de titres à écouter en boucle à partir d'ici et ce, jusqu'à la fin du carnet : Enter Sandman (Metallica), Antichrist Superstar (Marilyn Manson), Living Dead Girl (Rob Zombie)...


19h. J'arrive à Verdun. Congestion totale. Les rues débordent. Les trottoirs sont plein à craquer. Même Céline n'avait pas cozé autant de turbulence lorsqu'elle avait paralizé le vieux lors de son mariage...

On se serait cru dans une mini-séry de Stephen King : Ladies & Gentlemen, the Circus has arrived in town! De la classe. Beaucoup de classe.


Bref, j'interpelle une policière dans la rue pour lui demander où je peux garer ma voiture : bonne chance, me lance-t-elle avec son air de je-m'en-foutisme. Salope!

Je stationne ma voiture à deux milles à la ronde. Et en route vers le cirque!

À quelques pas de l'Auditorium de Verdun, c'est l'Arche de Noé. Trois gigantesks files d'attente : une à droite, une au milieu et une à gauche.

Il y du bruit.Beaucoup trop de bruit...


Il doit y avoir plus de mille personnes sur le site. Ouch! Je décide de me joindre à la file du milieu, celle qui semble la moins pénible.

Je sors mes billets pour me préparer à entrer lorsqu'une fille à côté de moi me dit qu'il faut échanger mes coupons contre des billets et faire les files de chaque côté. Mais elle est malade celle-là. Ce n'est pas du tout ce qu'il m'a été dit lors de mon achat au téléphone avec Admission. But then again...

Malgré tout, elle sème le doute en moi et ce n'est pas du tout le temps ou la place pour me mettre les pieds dans les plats. Non monsieur! J'accroche donc un gars de la sécurité pour qu'il me rassure. Cela prend quelques instants avant qu'il puisse me répondre, trop okupé à gérer une crize : une mère a perdu sa fille dans la foule. PERDU SA FILLE! La crize de nerfs. La fontaine de larmes. L'hystérie totale... Le pauvre gars ne sait pas trop comment l'aider, compte tenu du troupeau qui s'agite autour de lui. Il utilise son walkie-talkie pour passer le message à sa gang. C'est mon tour:

- J'ai acheté un billet et j'ai mes deux coupons. C'est correct?

- Oui, monsieur. Pas besoin de faire la file des côtés. Tout est OK. Celles-ci sont pour ceux qui n'ont pas encore acheté leurs billets.

Il est 19h30. Ça va mal. Le spectacle était prévu pour 19h15...

De retour dans la file du milieu, l'écrabouilleur. Tout le monde veut entrer en même temps. Avec ou sans billet. C'est fou.

Les enfants pleurent. Ils ont hâte d'enter voir les clowns, les lions, les jongleurs...Et moi, je me fais pousser de tout bord tout côté. J'ai mon garçon dans les bras : Papa, pourquoi on entre pas? Ça sera pas long mon crapaud!

Mais là, ca pousse davantage. Je me rapproche de la porte : so close but yet so far away!

Tout à coup, un revirement de situation inkroyable se produit, un zillion de fois encore plus imprévizible que la finale de The Sixth Sense et The Others.

- Ceux qui n'ont pas leurs billets, retournez à la maison. c'est sold out!, lance l'agent de sékurité.

Sold OUT. SOLD OUT.

Et moi qui croyais que la vente des billets de Madonna avait été surréaliste. Ça pousse de plus belle. Tout le grand Verdun se donne la main dans la douleur, la colère, le découragement, la peine et la stupéfaction.

Des gens venus de l'extérieur s'approchent du personnel de sékurité pour leur donner une méga-chaudière de bêtizes : Moé, j'viens de Gatineau pour voir le cirque...Ma belle-soeur est déjà à l'intérieur...Je suis partie de Québec...Batince que vous nous faites chier...

Même le doigt le plus long d'Axl Rose lors de son mémorable spectacle au Stade n'avait pas cozé tant d'émoi.

On aurait dit que c'était nous le cirque et les animaux les spektateurs. Mais qu'est ce qu'il font cette bande de zinzins aurait probablement déclaré un éléfant à la vue de tant de singeries!

L'indicateur de malheur atteint le maximum sur l'échelle du désespoir. Je suis juste à deux millimètres de l'entrée. Mais la sékurité est trop occupée à empêcher la foule de pénétrer dans l'antre du lion...Je tends mon billet pour montrer que je suis legit. Aucun succès. Ils en ont plein les mains. Mais moi je commence à en avoir assez. Ce n'est pas l'envie qui manque de retourner au bercail mais mon garçon aurait été trop déçu.

Enough is enough. Eh le boys, moi j'entre, c'est assez le déconnage. J'empêche deux zoufs de passer (encore) devant moi, je montre mes billets (encore une fois) de façon encore plus évidente et nous auto-propulse à l'intérieur.

Wow. C'est fait. Si j'avais eu une équipe de caméramen avec moi, on viendrait probablement de terminer le tournage de MI:4.

Fatigués, découragés, essouflés, nous voilà en route vers la conquête de nos sièges (mission beaucoup moins impossible que la précédente)...

C'est fait, nous somme assis. Mon garçon est excité et content d'être installé. Mon épouse et moi échangeons quelques regards complices : quel bordel planétaire!

On annonce que le cirque va commencer vers 20h30, soit 75 minutes plus tard que l'heure prévue. En attendant le VRAI spectacle, quelques activités sont offertes aux enphants : tours sur dos d'éléfants, face painting, etc. Nos amis les éléfants sont bien heureux de mettre leurs services au profit de la fête : les enphants sont très impressionnés par la taille giganteske des grosse bêtes grizes. Nos mamouths modernes sont aussi très fiers de nous montrer les bienfaits de leur diète forte en fibres en faizant d'énormes kakas que nos amis les prépozés se dépêchent de ramasser À LA PELLE! Beau travail les gars...Si leur bonus du temps des fêtes est directement proportionnel à la grosseur des exkréments ramassés, ça va leur faire de belles contributions REER l'année prochaine.

Autour de nous, les gens sont en train de souper. Ils ont réchauffé leur plats tupperwares à la maizon avant de quitter pour ne pas avoir à débourser un seul sous sur place...Toutes ces belles odeurs se mélangent pour nous offrir un parfum des plus korsés, comme si ce sympatik bouket était kraché par un ventilateur monstrueux. Ça sent le parfum cheap, les mets chinois réchauffés plus de cink fois, le crottin d'éléfant, la lazagne laissée sur le comptoir depuis la veille, la transpiration pré-émeute, la litière à cheval, etc.

Je vous épargnerai tous les détails intutiles de la soirée, mais vous en expozerai les faits saignants :

COUP DE COEUR : le spektakle avec les acrobates aériens, le clown et son petit chien, la korégrafie des chevaux, la danse synkro des éléfants (encore du kaka). Note : c'est drôle mais les chevaux n'ont pas chier une seule fois eux...

BÉMOL : pas de lion, ni de spektakle de motos dans la cage de métal...

COUPS DE POINGS : ce n'est pas du tout un jeux de mots : 2 mères (lokales, il va sans dire) se sont tapés sur la gueule à l'entrakte pour des raisons plutôt obskures. Elles ont peut-être eu un petit cachet pour mettre un peu de pikant dans la soirée. Qui sait?

Soirée tout de même intéressante. Mon garçon s'est bien amuzé.

AUX ORGANIZATEURS :

- Je suis conscient du fait qu'un nombre beaucoup plus élevé de petits koupons ont été distribués comparativement à l'an passé. Toutefois, on s'entend pour dire qu'il aurait été sage et souhaitable à la fin de la journée d'obtenir le nombre de billets vendus sur Admission et de savoir qu'en raison du nombre de billets dispo pour la soirée, on ne laisse pas entrer mille personnes sur le site pour les faire attendre pluzieurs heures debout avec des enphants, créer une attente, puis les renvoyer sèchement à la maison. La Ville voulait-elle profiter de cet achanlandage pour terminer secrètement le tournage de Night of the Living Dead - Verdun Style?

- De plus, il y avait pluzieurs centaines de places libres dans la salle au moment où le show a commencé. À moins qu'il existe une réglementation spéciale dans le cas d'un événement avec animaux pour faciliter l'évacuation au cas où un gentil éléfant décidait de venir nous saluer dans les gradins.

Entoucas never again (peut-être au Centre Bell) mais pas où l'organization est aussi merdike...

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Tuesday, May 23, 2006

Blogue-notes

Un peu bric-à-brac cette chronique aujourd'hui. Je suis de retour en ville après un petit saut à New York pour le long week-end...Visite plutôt familiale quoique quelques petits arrêts intéressants sur Canal Street, China Town et Little Italy. Avant de quitter, j'ai eu droit à un très bon spectacle, celui de Depeche Mode au Centre Bell, le 17 mai dernier. Un collaborateur spécial vous fera d'ailleurs part de ses impressions dans un carnet à venir.

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Vous vous souvenez dernièrement, je vous ai demandé quel serait LE cd qui vous accompagnerait sur l'île aux décibels? Eh bien cette fois-ci, faisons l'exercice contraire. Je serais curieux de savoir quels sont les enregistrements qui se retrouveront sur votre table de vente de garage cet été entre le pot de limonade à 5 sous et les muffins magiques...

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Les photos du début de la tournée madonienne commencent à se pointer le bout du nez dans les journaux et magazines de la planète entière : la grosse croix en diamants, la boule disco (rappelant le techno citron de U2), les danseurs, les nouveaux hits, les vieux...Le décompte est amorcé Montréal
!

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À propos d'uzinamo, je commence à trouver le push marketing un peu fastidieux. Ce que je compte faire (si la tendance se maintient dans ma tête) est de vous laisser le soin de venir me visiter au lieu de toujours frapper à vos portes, comme un vendeur d'encyclopédies à rabais qui vous dérange le dimanche matin pendant le brunch dominical. C'est d'ailleurs ce que je fais avec les blogues qui m'intéressent en ce moment : dans mes signets...Les derniers mois ont été plutôt essouflants et j'envisage peut-être de laisser tomber la formule lundi et vendredi par des apparitions plus ad lib. Ce sera à toutes les semaines (c'est entendu) mais peut-être plus, moins souvent, Dieu seul le sait. Trop de pression avec des tombées aussi raprochées. Je vais tenter de vous annoncer les sujets à venir à la fin de chaque carnet. Comme à l'habitude vos suggestions, commentaires, impressions sont toujours souhaitables.

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mangé : un dessert complètement renversant lors de mon passage au célèbre Serendipity : brownie de luxe, crème fouettée, crème glacée...On comprend rapidement pourquoi les américains sont GROS. Pas besoin de vous dire que cette orgie de calories, servie dans une coupe pouvant nourrir une équipe complète de soccer, avait été précédée d'un repas...Je recommence mon jogging ce soir!

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Wednesday, May 10, 2006

Mur du son

C'était la semaine dernière. Dans le métro. Je revenais du boulot. Direction Métro Bonaventure pour aller y prendre mon train. Cette fois-ci, ce n'est pas une chronique univers métro versus celui du train, mais bien à même le mode de transport souterrain. Les deux personnes concernées (un gars, une fille) étaient l'une en face de l'autre. Si proche et à la fois si loin (à des année-lumières) en terme de respect humain.

Cela m'a pris quelques secondes avant de réaliser d'où venait ce vacarme, ce tsunami de décibels, ce brise-tympan, cet arrache-patience...Il émanait de la radio de MONSIEUR. Ce dernier ayant décidé de nous empester de ses rythmes latino-arabo nuls à chier. En temps normal, j'aurais été très objectif vis-à-vis de sa sélection musicale, mais sa force de diffusion était puante, abrasive, discordante, irrespectueuse et égoïste.

Imaginez si tout le monde se promenait avec son petit joujou cracheur de son dans le métro...Cela serait l'anarchie la plus totale...On ne s'entendrait plus parler...Notre seul moyen de défense serait plus Fort...Plus FORT...ENCORE PLUS FORT!!!!!!

Et en face de ce pauvre crétin, sur une toute autre planète, Mademoiselle est calme, sereine et écoute sa musique favorite à l'aide de son iPod. Vous avez bien lu IPOD...Elle pourait bien se faire sauter le tympan for all i care...Jouer en boucle du Iron Maiden, du Gypsy Kings, les plus grands succès des BB ou encore le dernier Red Hot Chili Peppers...Ce qui est important, le génie derrière sa démarche, c'est l'utilisation de son dispositif : pas de fuite ou de sons égarés. Pouvez-vous croire que l'orchestration reste entre ses deux oreilles et non dans tout le train (pauvre crétin). Nice and clean. Je dois dire qu'elle avait aussi de jolies boucles d'oreilles...Non, mais sans blague : pas de bang sonique, pas de vomissure acoustique! La cohue auditive dans l'insonorité du code de déontologie urbain. Enjoy the silence!

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Thursday, May 04, 2006

Media Ga Ga

Pas facile le monde de la radio et de la télé...Il semble que lorsque l'on est big et que l'on marche sur la corde raide au dessus de la foule en délire, une chute peut advenir plus rapidement que l'on pense et ce, souvent sans filet pour nous retenir.

Plusieurs changements ont eu lieu au cours des derniers mois dans les médias montréalais. Voyons un peu ce que nos maîtres marionnettistes nous ont concocté:


- l'an dernier peut après avoir passé plus de 15 ans à CKOI, Denis Fortin quittait pour Énergie...En décembre dernier, François Hollywood Fortin (en vacances) est remplacé par Richard Z. Sirois à la barre des Justiciers Masqués, l'émission retour-à-la-maison du 96,9...Il y a eu la saga Brathwaite-Dufort (j'en ai assez parlé)...Babu est détrôné du 6 @ 6 au profit d'Anne-Marie Withenshaw anciennement du 94,3...Charles Lafortune avait quitté Fun Radio et revient animer les matins de la Puissance de Montréal. Mais où est Patrice L'Écuyer? Même scénario à la télé : déplacement dans les plages horaire (Véro), contrat non renouvelé (Patricia Paquin à Flash, par exemple).

L'agent motivateur de toutes ces turbulences semble être le $$$, la grosse carotte qui, accrochée au bout du nez des big boss, nourrit ces fauves dans le sprint final des BBM.

On se sert des ratings, les crottes d'écoute pour motiver de telles actions, mais pour le commun des mortels, c'est un peu plus complexe que cela. Après tout, c'est nous qui donnons à ce combat sans merci toute sa couleur.

À en voir toutes ces disparitions, les microphones de nos vedettes sont-ils carnivores?

Je vous donne mon interprétation de la chose (vous en faites ce que vous voulez)...

Notre quête d'information est rapide et cruelle, à l'image de notre mode de vie. Cette dernière dicte la façon dont on s'informe (idem pour le divertissement) : fast...hyper-fast...

Prenons Internet, par exemple. Il est prouvé que lorsque l'on surf sur un site, il n'en faut que quelques secondes d'insatisfaction dans notre conquête de l'information pour qu'on aille voir ailleurs. Si on ne trouve pas rapidement : on va ailleurs, temps oblige. C'est simple. Il en va de même pour la radio et la télé. La manie du zapping rend la chose encore plus hallucinante en raison de la multitude de postes, chaînes, canaux qui s'offent à nous.

Les pauses commerciales sont donc le moment privilégié pour aller sniffer le terrain (la version télévisuelle du concept de l'échangisme entre téléspectateurs consentants). Si la pelouse du voisin est plus verte, on oublie parfois de revenir au bercail.

Idem pour la radio, lorsque j'écoute le 6 @ 6 et que Babu me refile Maria de QBanito (maudit qu'elle m'énerve), j'en profite pour aller me faire titiller le tympan par le Happy Hour de Ricky Dee.

Il en va de même pour plusieurs autres composantes de notre vie : restos, magasinage, divertissement, etc. On a maintenant le choix et si auparavant les gens avaient des habitudes de consommation plus fidèles, il n'en demeure pas moins que nos agissements actuels ne constituent pas non plus un signe d'infidélité.

Ce n'est pas parce que l'on s'arrête sur une reprise de Friends dans un commercial de Tout le monde en parle qu'on est insatisfait de la performance de Guy A. Lepage. Ces pauvres animateurs font tout ce qu'ils peuvent pour nos fidéliser.

Pensez-y donc deux fois plutôt qu'une lors de votre prochain rituel de zapping : d'autres têtes d'affiche pourraient tomber...ou alors on procède à un boycott universel de tout ce qui est radio, télé, Internet, cinéma pendant un mois pour montrer aux géants du profit (qui font des zillions sur notre dos) que c'est nous qui tenons le gros bout du bâton..ou encore on blâme tout sur l'inventeur de la télécommande universelle pour y avoir mis autant de boutons!

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Monday, May 01, 2006

Z comme dans...

Le concept fonétik d'uzinamo ne laisse personne indiférrent...

Voici ce que deux cyberlecteurs ont laissé comme commentaires à propos de cette nouvelle façon de faire :


Cher Uzina-maux, merci pour ce petits clips d’info, super intéressant et super inn, mais "Kolize" ke tès z , k , sss sont fatiguants !!!


Très Zintéressant, Zappétissant, souvent Zironique que ce blogue où Lajambe s'envoie en l'air...


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Z est la ving-sixième lettre et vingtième consonne de l'alphabet.

Voici une liste de mots (source : Petit Robert 2006) qui commencent par la lettre Z (je vous épargne des nombreuzes créations maizons prézentées dans ce blog...) :

ZABRE, Z.A.C., Z.A.D., ZAIN, ZAKOUSKI, ZAMAK, ZAMIER, ZANCLE, ZANNI, ZANZI, ZAOUÏA, ZAPATÉADO, ZAPPER, ZAPETTE, ZAPPEUR(EUSE), ZAPPING, ZARBI ou ZARB, ZARZUELA, ZAZOU, ZÈBRE, ZÉBRER, ZÉBRURE, ZÉBU, ZÉE, ZÉLATEUR (TRICE), ZÈLE, ZÉLÉ (ÉE), ZELLIGE, ZÉLOTE, ZEN, ZÉNANA, ZEND, ZÉNITH, ZÉNITHAL (ALE) (AUX), ZÉOLITHE ou ZÉOLITE, ZEP, ZÉPHYR, ZEPPELIN, ZÉRO, ZÉROTAGE, ZEST ou ZESTE, ZESTE, ZÊTA, ZÉTÈTE, ZÉTÉTIQUE, ZEUGMA ou ZEUGME, ZEUZÈRE, ZÉZAIEMENT, ZÉZAYER, ZIBELINE, ZIDOVUDINE, ZIEUTER, ZIG ou ZIGUE, ZIGGOURAT, ZIGOTO, ZIGOUILLER, ZIGUE, ZIGZAG, ZIGZAGANT (ANTE), ZIGZAGUER, ZINC, ZINCIFÈRE, ZINCOGRAPHIE, ZINGAGE, ZINGARO, ZINGARI, ZINGUER, ZINGUEUR, ZINJANTHROPE, ZINNIA, ZINZIN, ZINZINULER, ZINZOLIN, ZIP, ZIPPER, ZIRCON, ZIRCONE, ZIRCONIUM, ZIST, ZIZANIE, ZIZI, ZLOTY, ZOAIRE, ZOB, ZODIACAL (ALE) (AUX), ZODIAQUE, ZOÉ, ZOÉCIE, ZOÏDE, ZOÏLE, ZOÏQUE. ZOMBIE ou ZOMBI, ZONA, ZONAGE, ZONAL (ALE) (AUX), ZONARD (ARDE), ZONE, ZONÉ (ÉE), ZONER, ZONIER (IÈRE), ZONURE, ZOO, ZOOGAMÈTE, ZOOGÉOGRAPHIE, ZOOGLÉE, ZOOLÂTRE, ZOOLÂTRIE, ZOOLOGIE, ZOOLOGIQUE, ZOOLOGISTE, ZOOM, ZOOMER, ZOOMORPHE, ZOOMORPHISME, ZOONOSE, ZOOPATHIE, ZOOPHILE, ZOOPHILIE, ZOOPHOBIE, ZOOPHYTE, ZOOPLANCTON, ZOOPSIE, ZOOSÉMIOTIQUE, ZOOSPORE, ZOOTAXIE, ZOOTECHNICIEN (IENNE), ZOOTECHNIE, ZOOTECHNIQUE, ZOREILLE, ZORILLE, ZOROASTRIEN (IENNE), ZOROASTRISME, ZOSTÈRE, ZOSTÉRIEN (IENNE), ZOU, ZOUAVE, ZOUK, ZOULOU(E), ZOZO, ZOZOTER, Z.U.P. ou ZUP, ZUT, ZUTIQUE, ZUTISTE, ZWANZE, ZWINGLIANISME, ZYEUTEZ, ZYGÈNE, ZYGO-, ZYGOMA, ZYGOMATIQUE, ZYGOMORPHE, ZYGOMYCÈTES, ZYGOPÉTALE, ZYGOTE, ZYMASE, ZYM(O)-, ZYMOTIQUE, ZTHUM ou ZYTHON, ZZZ...

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