Sors les vidandes ma solange

Plus d'un mois. Est-ce possible, fuck! Un mois sans uzinamo. C'est komme un bagel sans Nutella...J'espère que vos preskriptions d'anti-dépresseurs ont été renouvelés. La bonne nouvelle, toutefois : i'm back. Back with an attitude. Back. Back. Back . Baby Back Ribbz. Ouin, ouin, il dit cela pis dans une semaine, il va nous faire le coup encore (j'entends déjà certaines langues sales de St-Eustache me tomber dessus comme une savonette dans une douche sans fond). J'espère que non, pcq cette absence webienne a été compensée par de belles idées qui devraient voir le jour sur vos ékrans sous peu, si Dieu le veut!

Ces idées sont en quelque sorte une révolution! Je vais y revenir.

J'ai donc réalisé que ces projets pouvaient avoir un effet boeuf sur la direktion de mon blogue. Pour écrire, il faut écrire et pour écrire davantage il faut ékrire encore plus...Et ainsi vont les doigts qui pianotent...Je m'en sortirais pas. Sentence à vie devant un laptop, avec sortie au tier de ma démence!

Entouékas, revenons à ce cher carnet qui se meurt d'envie d'être craché sur vos ékrans. De vous envahir l'esprit. Je suis au lave-auto. Ma camionette a eu de graves problèmes dernièrement, mais nom d'un pneu : tout est revenu dans l'ordre maintenant. Donc, après avoir passé plusieurs jours dans le stationnement d'un garage et d'avoir vu passer sur ses banquettes des fonds de culottes de mékanissiens pleines d'huile et autres substances dont j'aime mieux vous épargner la composition, un bon nettoyage s'imposait.

- Intérieur, extérieur? me demande le préposé du joint à bulles

- Yessir!

Primo: elle passe sous les mains habiles des savonneurs, puis sous les caressants jets d'eau des rinceurs (ostie qu'elle en avait bezoin...).

Deuzio : avant de passer à l'étape du lavage intérieur. Elle fait un petit arrêt. La bagnole qui la précède n'a pas encore terminé cette étape du parcours...

Donc, le gars responsable du torchage intérieur (vous verrez que je n'exagère pas du tout sur le choix du mot TORCHAGE) s'apprête à passer l'aspirateur dans la Honda verte qui se trouve devant lui, prête à bondir sur les routes plus vite que Flash McQueen.

OH MY GOD. Je le vois approcher la poubelle, non plutôt le container d'un air inkrédule. Le propriétaire dudit véhikule avait omis de sortir la tonne de sacs de MCDO, de bouteilles d'eau vide, de journaux, de sacs de plastik, de vieux kleenexs sales. Une vrai porcherie, koi!!! Je sais qu'on vient faire laver son char, mais là il y a quand même des limites à ce qu'un passeux d'aspirateur peut endurer. Tous les débris ont été sortis selon la règle de l'art, avec un sourire et un : votre voiture est prête (ostie de moron!). Le tout avec un léger supplément de 2$ pour les inkonvénients sanitaires de sa pollussion intra-lavoto-enne.

Le gars qui faisait laver son char dans l'autre rangée, préoccupé par l'état de son banc arrièrre s'est empressé de venir sortir la quantité (moindre vous me direz) mais quand même gênante de déchets urbains.

La prochaine fois Solange, sors donc les vidanges!

-30 qui avait fait le ménage avant de commensser le moussage-

Dans mes écouteurs pendant ce carnet: Cars (Gary Numan), Clean (DM), Hungry Like The Wolf (Duran Duran), The Collector (NIN) & Beercan (Beck)