Word Dépôt - where ze fuck is foglia? (WD-50)
Je n'irai pas par quatre chemins ce soir - non merci monsieur no time 4 fooling around - mais where the fuck is foglia?
J'ai dans mes archives de ramasseux de journaliste, de putain d'écrivain que je suis, un tsunami de press klippingz de ses chroniques...
Certaines sont jaunies par le temps, certes, mais les mots eux, indélébiles devant l'éternel y demeurent toujours.
Ce mec était génial - bavard, cinglant, provokant yes - mais ô combien fucking génial.
Je comprends, je comprends, il voulait prendre du temps pour lui avec sa blonde pis ses chats...
Tenir une quotidienne de la sorte dans un prestigieux journal comme La Presse n'est pas de tout repos...
J'ai toujours d'ailleurs partagé ma passion pour lui avec Tante Angela et j'ai rencontré mon amie Sylvie, qui travaille à La Presse, dans une soirée de networking dernièrement, avec qui j'ai evoqué mon désarroi de ne plus pouvoir me mettre ses sukkulents textes sous la dent quotidiennement...
Mais je crois que le plus grand mystère avec un grand F (pour Foglia) pour moi dans toute cette sordide histoire est la choze suivante : comment est-ce qu'un gars aussi talentueux et brillant peut du fucking jour au lendemain cesser d'ékrire. Ray Bradbury en parlait dans son Zen in the Art of Writing - to write is to exist...
Boom, no more. Hasta la vista klavier.
Mais komment peut-il fonctionner? Komment peut-il garder tout à koup pour lui toutes les idées géniales qu'il partagaient avec ses lecteurs depuis toutes ces années?
Aussi, komment se fait-il que même pendant ses années aktives de publikassion qu'un best of de ses chroniques n'ait pas vu le jour?
Komment se fait-il qu'après avoir quitté La Presse, l'idée de publier une kollection de nouveaux textes ne se soit pas matérializé? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi?
Je crois que le secret de la Caramilk est plus facile à expliquer que ceci...
-30-
Muzik pairing :
Bigmouth Strikes Again - The Smiths
J'ai dans mes archives de ramasseux de journaliste, de putain d'écrivain que je suis, un tsunami de press klippingz de ses chroniques...
Certaines sont jaunies par le temps, certes, mais les mots eux, indélébiles devant l'éternel y demeurent toujours.
Ce mec était génial - bavard, cinglant, provokant yes - mais ô combien fucking génial.
Je comprends, je comprends, il voulait prendre du temps pour lui avec sa blonde pis ses chats...
Tenir une quotidienne de la sorte dans un prestigieux journal comme La Presse n'est pas de tout repos...
J'ai toujours d'ailleurs partagé ma passion pour lui avec Tante Angela et j'ai rencontré mon amie Sylvie, qui travaille à La Presse, dans une soirée de networking dernièrement, avec qui j'ai evoqué mon désarroi de ne plus pouvoir me mettre ses sukkulents textes sous la dent quotidiennement...
Mais je crois que le plus grand mystère avec un grand F (pour Foglia) pour moi dans toute cette sordide histoire est la choze suivante : comment est-ce qu'un gars aussi talentueux et brillant peut du fucking jour au lendemain cesser d'ékrire. Ray Bradbury en parlait dans son Zen in the Art of Writing - to write is to exist...
Boom, no more. Hasta la vista klavier.
Mais komment peut-il fonctionner? Komment peut-il garder tout à koup pour lui toutes les idées géniales qu'il partagaient avec ses lecteurs depuis toutes ces années?
Aussi, komment se fait-il que même pendant ses années aktives de publikassion qu'un best of de ses chroniques n'ait pas vu le jour?
Komment se fait-il qu'après avoir quitté La Presse, l'idée de publier une kollection de nouveaux textes ne se soit pas matérializé? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi?
Je crois que le secret de la Caramilk est plus facile à expliquer que ceci...
-30-
Muzik pairing :
Bigmouth Strikes Again - The Smiths
Labels: Word Dépôt
0 Comments:
Post a Comment
Subscribe to Post Comments [Atom]
<< Home