Uzinamo (the making of)

Il ne se passe pas une seule journée sans que je blogue parmi mes mots, mes idées, mes livres et mes inspirations intergalactiks. 

Il ne se passe pas une journée sans que j'aie le goût de m'exprimer, de faire sortir le méchant ou simplement vous divertir et vous égayer.

Il ne se passe pas une simple journée sans que je veuille me rapprocher de mon rêve de m'auto-publier (blogue) ou de celui de l'être via la publication des mes nouvelles et romans.

Je bloque tout ce qui se passe autour de moi, je fais le vide, je prends l'ascenseur pour m'évader dans mon refuge secret, le siège social de mes écrits décadents...

Et je couche des mots sur le klavier : parfois horrifiques, parfois charnels, parfois célestes, parfois inspirants, parfois modernes et gustatifs, parfois paternels, parfois meurtriers, parfois kommunautaires et d'autres fois noirs et blancs...

Et je cris, j'écris, j'allume et j'accuse, je décris et je transforme, je transpose et je dispose et je vomis le cancer de nos émois dans le dédale de notre impuissance à percevoir l'insuffisance de notre vision à contenir notre désir d'anéantir le chaos de notre insouciance...

Clavier. Mots. Syllabes. Phrases. Radioactivité.

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Karnet 59 / BOT 2014.2

Muzik pairing:

ENVOYE / THE YOUNG GODS