UN BOT DANS UN BOT, part 1

les choses avancent vite. très vite. trop vite. mais on dirait que ma façon de lutter contre l'horloge de la vie, devant ces crocs de vampire qui menacent de nous percer l'épiderme invitante de l'épaule, c'est d'écrire. write my fucking life away. write till u drop. write and never look back... et comme si le présent défi que je me suis proprement lancé : de bloguer chaque jour konsékutivement, jusqu'à ce que des syllabes me sortent par tous les orifices du corps (aka Blogue-ô-Thon ou BOT pour les intimes), j'ai décidé dans un moment de pure folie de penser à vomir un BOT dans un BOT, cad un sprint dans un sprint. dans le concret, cela veut dire, qu'une fois que j'aurai identifié le moment opportun, vous verrez apparaître une logorrhée, un tsunami de mots, une fausse couche de lokutions, une diarrhée d'OBNI (objet bloguant non identifié/identifiable) et ce, dans une contrainte de 1 440 minutes. life's a bitch, que voulez-vous. il faut bien sûr que je réfléchisse avant de me lancer dans la gueule du loup, que je prépare un tantinet cette contre-attak du mot. mais quand ça sera prêt vous en serez informé via UN BOT DANS UN BOT, part 2. when there's a will, there's a blog! stay tuna. 

Karnet 71 / BOT 2014.2 

-30- 

Muzik pairing : 

London's Burning - The Clash