500e post : le jour où j'ai essayé de changer le monde...
J'écris ce soir mon 500e post. Wow! Quelle aventure...
Le jour où j'ai essayé de changer le monde, je l'ai fait en prenant mon calepin et mon crayon (j'ai toujours papier et crayon dans le métro pour écrire), mon cerveau, ma souris pis mon clavier.
D'autres optent plutôt pour des tanks et des grenades...Ça dépend toujours de l'effet désiré...
Voici MON CRI PRIMAL (tout premier post) :
Écrire à la première personne : écrire pour (sur)vivre. Les récits de vies, les journaux intimes, le personal writing ainsi que l'avènement des blogs sont très à la mode ces temps-ci. Ces écrits du Moi et cette explosion du JE sont directement liés au phénomène actuel de la téléréalité. Tout le monde veut son 15 minutes de gloire. Pourquoi pas? C'est tout à fait normal dans un monde où les vedettes prennent toute la place dans les médias.
Uzine de mots se veut un médium à l'aide duquel je pourrai partager avec vous mes états d'âmes, mes réflexions et ce, à n'importe quel moment : dans le confort de mon salon, dans le brouhaha des transports en commun ou encore à partir d'une chambre d'hôtel en plein coeur de Manhattan. Cet outil pourra aussi me servir de carnet de route (journal personnel). C'est aussi par le biais de ce dernier que je pourrai publier certains articles et vous faire découvrir l'univers déroutant d'Alfred Balcon, mon pseudonyme (création littéraire). Bienvenue à l'uzine...
Dans le jour où j'ai essayé de changer le monde... certains y verront peut-être de l'arrogance, de la vantise ou encore du self-fucking-centering, mais j'entends plutôt par changer le monde, faire réfléchir le monde, faire réagir le monde, faire ouvrir les yeux-qui-trop-souvent-sont-fermés-car-les-gens-ne-prennent-pas-le-temps-de-penser-outside-the-fucking-box du monde. Les divertir, les exciter, les faire rougir, les faire trembler de peur, les forcer à se regarder dans le miroir, les inviter à voir le jour avec une autre perspective, celle d'un chroniqueur, blogueur, écrivain-in-the-fucking-making, nouvelliste, mais qui est aussi un homme, un époux, un papa, un fou de musique, de livres, de revues, de réseaux sociaux, de saumon fumé, et j'en passe...
Rétrospectivement aussi, ce blogue m’a permis d’obtenir une certaine visibilité et de me faire des contacts intéressants. Aussi, j’ai commencé ce blogue avec la volonté d’y mettre des trucs que je ne pouvais pas publier ailleurs et de m’en servir comme territoire de défoulement et d’expérimentation, bref comme un tremplin pour accroître ma notoriété et mon portfolio…
Donc, j’ai comme une petite obligation morale de le garder en bonne santé…
J'ai débuté ce blogue alors que Facebook et Twitter n'existaient pas encore, alors que les blogues étaient la chose la plus in en terme de réseautage. Malgré le fait que mon compteur ne soit pas le plein reflet de la popularité de mon lab, cette uzine a été assez populaire à un certain moment donné, en terme de laissage de commentaires et de traffic. J'ai fucké le chien à deux reprises (changement de template, entre autres chose) et j'ai eu de longues périodes d'inactivité en raison de mes obligations de pigiste (rémunéré), sinon le compteur serait probablement pas loin du 100 000. La plupart des gens qui bloguaient en même temps que moi à l'époque ont mis leurs carnets au rancart, pas moi...
L'important dans tout ça est que j'en retire encore du plaizir et que de nouvelles idées me portent à passer du temps (et encore plus de temps en 2012) à vous attirer dans mon univers parfois tordu, amusant, épouvantable, érotico-techno-jouissif, tantôt émouvant, libérateur, revendicateur, pseudo-savant, libertin, explosif, glauque, morbide, sucré-salé, mais toujours riche en émotions de toutes sortes, mais surtout hautement fucking addictive.
Dans les moments marquants, on se souvient bien sûr du célèbre blog-o-thon (125 jours de post consécutifs, ouf...), des carnets entourant l'achat de mes billets d'un certain show de Madonna, mes répliques à la défunte Célibataire urbaine (conjoint rural) sous forme de chroniques, mes réflexions sur divers sujets d'actualité (tueur de Dawson, entre autres), mes carnets dans les transports en commun, mes écrits pornographiques et sadiques, ma web-série drogue et débauche Heaven, mes fricassées de sujets anodins et j'en passe...
Et que dire du muzik pairing : concept unique ici!
Plusieurs nouvelles chroniques s'en viennent...Je n'ai pas dit mon dernier mot, fuck non!
Merci encore de me suivre...@ bientôt
-30-
Musik pairing :
Le jour où j'ai essayé de changer le monde, je l'ai fait en prenant mon calepin et mon crayon (j'ai toujours papier et crayon dans le métro pour écrire), mon cerveau, ma souris pis mon clavier.
D'autres optent plutôt pour des tanks et des grenades...Ça dépend toujours de l'effet désiré...
Voici MON CRI PRIMAL (tout premier post) :
Écrire à la première personne : écrire pour (sur)vivre. Les récits de vies, les journaux intimes, le personal writing ainsi que l'avènement des blogs sont très à la mode ces temps-ci. Ces écrits du Moi et cette explosion du JE sont directement liés au phénomène actuel de la téléréalité. Tout le monde veut son 15 minutes de gloire. Pourquoi pas? C'est tout à fait normal dans un monde où les vedettes prennent toute la place dans les médias.
Uzine de mots se veut un médium à l'aide duquel je pourrai partager avec vous mes états d'âmes, mes réflexions et ce, à n'importe quel moment : dans le confort de mon salon, dans le brouhaha des transports en commun ou encore à partir d'une chambre d'hôtel en plein coeur de Manhattan. Cet outil pourra aussi me servir de carnet de route (journal personnel). C'est aussi par le biais de ce dernier que je pourrai publier certains articles et vous faire découvrir l'univers déroutant d'Alfred Balcon, mon pseudonyme (création littéraire). Bienvenue à l'uzine...
Dans le jour où j'ai essayé de changer le monde... certains y verront peut-être de l'arrogance, de la vantise ou encore du self-fucking-centering, mais j'entends plutôt par changer le monde, faire réfléchir le monde, faire réagir le monde, faire ouvrir les yeux-qui-trop-souvent-sont-fermés-car-les-gens-ne-prennent-pas-le-temps-de-penser-outside-the-fucking-box du monde. Les divertir, les exciter, les faire rougir, les faire trembler de peur, les forcer à se regarder dans le miroir, les inviter à voir le jour avec une autre perspective, celle d'un chroniqueur, blogueur, écrivain-in-the-fucking-making, nouvelliste, mais qui est aussi un homme, un époux, un papa, un fou de musique, de livres, de revues, de réseaux sociaux, de saumon fumé, et j'en passe...
Rétrospectivement aussi, ce blogue m’a permis d’obtenir une certaine visibilité et de me faire des contacts intéressants. Aussi, j’ai commencé ce blogue avec la volonté d’y mettre des trucs que je ne pouvais pas publier ailleurs et de m’en servir comme territoire de défoulement et d’expérimentation, bref comme un tremplin pour accroître ma notoriété et mon portfolio…
Donc, j’ai comme une petite obligation morale de le garder en bonne santé…
J'ai débuté ce blogue alors que Facebook et Twitter n'existaient pas encore, alors que les blogues étaient la chose la plus in en terme de réseautage. Malgré le fait que mon compteur ne soit pas le plein reflet de la popularité de mon lab, cette uzine a été assez populaire à un certain moment donné, en terme de laissage de commentaires et de traffic. J'ai fucké le chien à deux reprises (changement de template, entre autres chose) et j'ai eu de longues périodes d'inactivité en raison de mes obligations de pigiste (rémunéré), sinon le compteur serait probablement pas loin du 100 000. La plupart des gens qui bloguaient en même temps que moi à l'époque ont mis leurs carnets au rancart, pas moi...
L'important dans tout ça est que j'en retire encore du plaizir et que de nouvelles idées me portent à passer du temps (et encore plus de temps en 2012) à vous attirer dans mon univers parfois tordu, amusant, épouvantable, érotico-techno-jouissif, tantôt émouvant, libérateur, revendicateur, pseudo-savant, libertin, explosif, glauque, morbide, sucré-salé, mais toujours riche en émotions de toutes sortes, mais surtout hautement fucking addictive.
Dans les moments marquants, on se souvient bien sûr du célèbre blog-o-thon (125 jours de post consécutifs, ouf...), des carnets entourant l'achat de mes billets d'un certain show de Madonna, mes répliques à la défunte Célibataire urbaine (conjoint rural) sous forme de chroniques, mes réflexions sur divers sujets d'actualité (tueur de Dawson, entre autres), mes carnets dans les transports en commun, mes écrits pornographiques et sadiques, ma web-série drogue et débauche Heaven, mes fricassées de sujets anodins et j'en passe...
Et que dire du muzik pairing : concept unique ici!
Plusieurs nouvelles chroniques s'en viennent...Je n'ai pas dit mon dernier mot, fuck non!
Merci encore de me suivre...@ bientôt
-30-
Musik pairing :
posted by Marc Lajambe at
10:10 PM
1 Comments:
Dude! Merci pour les mots, merci pour les Z que tu utilizes mieux que quiconque et merci pour la constance et la longévité de ton blog. C'est loin d'être simple de faire en paralélle de tout mais man, tu le fais bien en sale! Cheers & lonmg life l'Uzine.
By
edwar noiz, At
January 19, 2012 10:31 AM
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