Encre éternelle

À la fin des années 90, le phénomène de l'édition en ligne voyait le jour. C'est seulement en 2001 que le livre électronique (ebook) se taillait une place dans nos foyers. Le livre est en péril ? Non.

Vous aimez l'odeur du papier ? Vous aimez le contact des pages sous vos doigts ? Dites-vous que vous n'êtes pas les seuls.

J'étais au Salon du livre de Montréal la semaine dernière. Quelle bonheur d'être entouré d'autant de livres. Pour une deuxième année consécutive, le hightlight de ma visite était le kiosque de la maison d'édition Alire (Patrick Sénécal).

Pour plusieurs, le Salon est une occasion de venir flairer les nouveautés. Pour d'autres, c'est le moment de venir faire leur magasinage des fêtes. Ce qui est aussi formidable au Salon, c'est de voir l'émerveillement des enfants devant cette armée de mots, d'images et de couleurs. Le livre est encore vivant et pour longtemps...

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Ajouté : deux titres à ma collection de disques compacts. Confessions on a Dance Floor (j'ai inscrit le mauvais titre dans mon carnet du 3 novembre dernier, désolé...) est le grand retour de Madonna. Bien sûr, il y a les classiques : Holiday, Like a Virgin, Vogue, etc. Mais depuis Erotica, la démarche musicale de la Madone est à la fois urbaine et révolutionnaire. American Life n'a pas été un franc succès, mais la chanteuse de 47 ans regagne nos coeurs cette fois-ci. Son nouveau disque rappelle l'énergie de Ray of Light. Elle délaisse le réalisateur Mirwais (Music et American Life) au profit de Stuart Price (Les Rythmes Digitales). Arrangements technos, rythmes disco. Les nouvelles pièces de Madonna promettent de ramener le traffic sur les pistes de danse de la planète entière...Playing the Angel marque le grand retour de Depeche Mode. Si Exciter n'a pas connu le succès escompté, cet album a tout de même permis au trio d'expérimenter côté textures musicales. Riche de cette aventure, le nouvel CD de DM rappelle l'époque Violator (leur meilleur selon moi) et est plus rythmé que son prédécesseur. L'excursion solo de Dave Gahan (Paper Monsters) lui a permis de signer trois des douze titres de l'album. Outre Precious (le premier single), A Pain That I'm Used To, Suffer Well et Lilian sont des incontournables.

Obtenu : une dédicace de Patrick Sénécal au Salon du livre. Voici ce qu'il a inscrit dans mon livre Oniria : Marc, alias Alfred : une longue nuit au pays des cauchemars.

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